Sabriel Antédiluvien
Messages : 731 Date d'inscription : 05/08/2009 Age : 34
| Sujet: "Livre de la vengeance" 1 er Chapitre : De la puissance à la décadence (de l'an de grâce 967 à l'an 990). Ven 7 Aoû - 18:00 | |
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Voici le grimoire de ma vie et de ma lutte contre les usurpateurs.
C'est dans ce livre que sera répertorié toute les uses et coutumes de c'est Fourbe d'usurpateurs que nous nommons également les Tréméres. Celui qui lira ce livre aura alors le devoir de combattre ceux que j'ai combattu et que je combattrai jusqu'à la fin de mes jours. Puisse Dieu, Cain, et Saulot m'aider dans ma quête.
Mais tout d'abord il est de première convenance de décrire qui je suis. Mais par où commencer..
Je vis le jour en l'an de grâce 967 en Italie du Nord à présent sous le contrôle du ,à l'époque, très jeune ST Empire Germanique et de son premier empereur Otton 1er du nom couronné en l'an de Grâce 962.
A l'époque je me nommais Francesco di Lampedusa fils du 10ème duc du marquisat de Toscane, Vasco di Lampedusa. Mon enfance fut des plus privilégié malgré ces temps de troubles. Occupé à recevoir l'éducation Qui sié à un prince et qui par conséquent comprenait à la fois entraînements militaires, éducation littéraire, philosophique et historique. Qui devait bien entendu à me préparer à la gérance du marquisat.
Au fil des ans nôtre famille lutta désespérément contre la menace germanique pour le maintient du pouvoir dans cette région. Ce qui divisa nôtre famille en deux branche, l'une des deux règne encore actuellement. Je veux bien sur parler des Di Rienzo, nom provenant de Augusto Di Rienzo à l'époque marier à l'une de mes soeurs. Il fut l'ennemie qui mena nôtre famille à la chute.
Ce fut à la mort de mon défunt père Vasco di Lampedusa en l'an de grâce 988 à l'aube de mes 21 années que je devins le 10ème duc di Lampedusa et que commença la triste histoire de la chute de nôtre famille. Inutile de préciser que Augusto di Rienzo s'empressa de contester mon accession et offrit ses viles services à Otton 1er en échange de sa vassalité.
Cette traîtrise allait mener nos deux familles à lutter avec acharnement pendant deux longues années. Deux longues années de guerre civile, de bataille et de meurtre. Jusqu'au jour de la bataille final, le 15 de mai de l'an de grâce 990 dans les plaines de Camaiore au nord de Pisa la ville de ma famille.
Je me souviens de ce jour comme si se fut le dernier. Je revois encore mon dernier levée de soleil irradiant par sa majesté la plaine encore baigné d'une brume matinale conséquence d' un hiver tenace et rigoureux. Et dire que bientôt coulerais le sang de milliers d'hommes luttant contre la perfidie d'un seul homme...
Car c'est ici que nos armée s'affronteraient. Tôt dans la matinée le conseille des stratéges se tint. Nos éclaireurs nous affirmérent que l'armée d' Augusto ne comprenais tout au plus 15 têtes en comptant chevaliers, soldatestques, archers...
Afin d'éviter de commettre le pire des pêché qui résulte de la désobéissance au commandement " tu ne turas points" et donc pour préserver mon âme et celle de mes hommes l'ors du jugement dernier je fis envoyer plusieurs ambassadeurs et délégation mais rien n'y fait. Il revinrent décapités. Donc sans d'autre choix nous nous préparâmes à livrer bataille. Fort de mes 230 chevaliers, de mes 500 archers ainsi que de ma soldatesque se composant d'environs 2000 hommes, la victoire bien que coûteuse était entre mes main mais dieu en décida autrement...
Alors que je menais la charge à la tête de mes chevaliers sur le flanc de mon adversaire qui lui était entrain de combattre mes soldats de front. Nous entendîmes avec stupeur les cors d'une gigantesque armée venant de nôtre arrière.
Ce maudit empereur germain, Otton 1er, que je savais complotant avec mon beau-frére, avait levée un immense armée qui à première vue en nombre s'élevait au dessus de 20 000 hommes . Profitant du chaos qui régnait il fut facile, et vous l'aurez compris, pour Augusto de remporter la victoire.
Au crépuscule du deuxième jour de combat mon armée fut anéanti et je fis prisonnier dans les geôles de mon propre palais.
Mais cette nuit allait changer ma vie à jamais...
Une créature enveloppée de noir surgit devant ma cellule en ouvri les barreaux avec une extrême facilité toute en me faisant signe de sortir. Cest alors qu'une nouvel vie commenca. Croyant alors que dieu m'offrait une seconde chance, j'étais bien loin de m'imaginer que ma vie allait encore connaître la douleur, le désespoire et la haine...
Dernière édition par Lampedusa le Jeu 27 Aoû - 17:04, édité 13 fois | |
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