Réflexion Via Sanguinius

L'homme avec la voix de sabriel porte une armure noire de plaque. Ses épauliéres sont des licornes d'argents aux yeux marqués par des rubis d'un rouge palpitant. Il porte un casque évoquant une tête de licorne de même aspect et tu ne distingue pas son vissage. La voix est métalique

"A ton niveau de connaissance du sentier des révélations interdites, la bête ne devrait être entièrement sous ton contrôle... Mais ce monde est bien différent du notre, et je suppose qu'il s'agit là d'une adaptation nécessaire. Toutefois je t'avais envoyé le premier avec Astalos parceque vous etiez les deux plus solides.

Il marque une pause


Quesceque c'est que cette tenue ? Où est Astalos? "

Tu entend une voix grave qui viens de ton esprit, la voix de la bête...

" Ceci est la réalité ! Ressaisi toi et donne le change ou bien il va nous détruire tout les deux "

La silhouette en armure semble ne pas bouger un instant, comme considérant tes propos. Puis, il met la main à son visage et retire son casque en forme de crâne de licorne argenté, révélant son visage. Tu te trouve en face de Sabriel, mais sa beau est blanche et veinée de noire, ses yeux sont deux puits noirs et son troisième oeil est clos.

"Bien, alors raconte moi comment c'est passé votre mission ? Quand est il de la griffe ?"

Avec un air extrêmement sérieux et sans montrer la moindre hésitation :

Nous sommes tombé sur le groupe de caïnites, dont nous t'avons déjà parlé, accompagnant le chevalier de la lumière (ou un truc dans le genre) et ces derniers étaient en possession d'une arme étrange à la lueur verte.

Cette arme leur à permit de blesser Astalos, c'est comme ci il avait perdu c'est pouvoir pendant un temps, et leur a également permit de détruire la griffe avant que l'on puisse en prendre possession.

Pendant un temps, son visage est inexpressif, et tu ne sais si ta réponse l'a convaincu ou pas, puis soudain il hoche la tête d'un air satisfait

"Oui... vous avez donc réussi à les faire détruire la relique, c'est parfait. Je savais que le fait de vous savoir à la recherche de cette objet ferait accélérer leurs propres recherches. En tout les cas la relique est détruite, ce qui était notre but, le parangon noir sera satisfait.

Il s'arrêta une seconde, comme si il avait soudain repéré quelque chose

"As tu dit "il" en parlant d'Astalos ?

La voix se manifeste dans ta tête à nouveau...

"Ce n'est pas un homme... j'ai lue dans son coeur, c'est une femme..."

(Avec ton "de nouveau", je suppose que c'est la voix de la bête)

Si tu as d'autres petits détails de ce genre, je suis preneur !

Saïli afficha ce qui pourrai ressemblé à un léger rictus moqueur sur le visage d'Oclos :

Ce "il" n'était pas le plus, disons, approprié pour définir Astalos.

Le Sabriel noir qui se trouve devant toi te regarde

... quoi qu'il en soit c'est fort bonne chose que la griffe soit détruite. Maintenant dit moi, Oclos, lequel d'entre eux est le plus proche de la vérité ?

"Le Lasombra hein... c'est une trés bonne chose. Alors en ce cas le maître ne tarderas pas à le trouver...

L'homme semble soudain pensif, comme si il se remémorait de vieux souvenirs

Simehus... je me demande ce que je ressentirait en le voyant à nouveau...

Bien sur tu ne l'as pas connu, Oclos, car dans notre monde il était déjà mort lorsque nous nous sommes rencontrés au temple

Il secoue la tête sur la négative

Non... pas cette fois ci mon ami. Cette mission est la mienne.

Je sais qu'il va se diriger vers Venise, comme je le fis autrefois. Le livre de l'infante de Samiel est là bas. Je dois le détruire au plus vite.

Vous vous resterez ici, le maître est très occupé à assurer sa couverture, mais il ne devrait pas tarder à venir.

Avant de partir il s'arrete un intant

Dit moi Oclos... quel effet cela fait ?

La bête te murmure

"Tu es... dans TON corps... il te prend pour cet Oclos, tu dois ... lui ressembler...."

Le sabriel sombre franchi la porte

Oui... c'est exactement ce que j'imaginais à l'idée de rencontrer celui que je fus jadis... A bientot mon amis

Tu ressens tout à coup une faiblesse se creuser en toi...

"Il était impératif que tu paraisse fort, mais à présent je reprend ce qui m'appartiens..."

"Parceque ta perte aurait signifié la mienne... à présent, laisse moi tranquille, récéptacle..."